Comment peux-tu améliorer ta croissance, tes affaires ?
Oui, faire suffisamment de profit pour bien vivre, mais aussi pour avoir du temps pour en profiter.
Si vous me suivez, vous me connaissez un peu et vous savez que j’adore la négociation.
Que depuis trente ans – ouach je suis vieux – je me développe en relation de travail et que j’adore aider les travailleurs.
Ce que vous savez moins, c’est que mon passe-temps est maintenant d’aider les gens d’affaires grâce à mes techniques apprissent dans mon domaine. Les aider à développer leurs affaires grâce à la négociation et par le fait même à la communication.
J’ai toujours eu un profond respect pour ce qu’on nomme « la petite entreprise », l’entrepreneur avec ou sans employé, le travailleur autonome.
Ils créent leur propre revenu, en vendant des produits ou services, créent des emplois et font virer l’économie du Québec, souvent bien plus que les grandes ou très grandes entreprises.
Par contre, contrairement aux travailleurs que je représente depuis des lustres, ces entrepreneurs sont un peu délaissés en termes de soutiens. Pour ma part je trouve qu’il se rapproche beaucoup du travailleur à l’heure dans le sens qu’ils ont aussi besoin de soutien, mais ils sont laissés à eux-mêmes dans plusieurs domaines.
Voici donc un aperçu de ce que donne l’application de divers principes et techniques d’une personne qui fait des relations de travail à plein temps depuis trente ans et qui décide d’aider ces entrepreneurs.
Faire des relations de travail signifie – même si ça ne parait pas beaucoup quand vous lisez les nouvelles – être en communication avec d’autres individus de façon constante. Pratiquer plusieurs méthodes de négociations pour atteindre un objectif, souvent relié au maintien de conditions de travails et à l’amélioration de celles-ci.
Et les affaires dans tout ça ?
C’est semblable. Regardons un processus simplifié du démarrage d’une entreprise.
Je veux vendre un produit « X ». Nouveau, existant ou amélioré. Je m’informe sur comment créer mon entreprise, quelle forme prendre. Un peu le côté comptabilité pour bien faire les choses. Où me fournir, incluant les ressources diverses dont j’ai besoin pour distribuer mon produit, ou service.
Souvent j’ai été employé dans une entreprise semblable et je décide de partir à mon compte, donc sans le savoir réellement je recopie ce que mon employeur faisait, en améliorant certaines choses, mais aussi en copiant les erreurs.
Et me voilà parti à la recherche de clients.
J’ai parfois reçu de l’aide financière, ou de l’aide au démarrage. Aide donnée à l’occasion par une personne ayant déjà fait des affaires aussi, mais souvent par des personnes ayant été formé dans le domaine, mais n’ayant jamais fait affaire.
Et le « moi inc. » est démarré!
Bravo, mais ça ne fait que commencer…
Voici maintenant, après quelques mois, voire une année ou deux, ce qui peut très bien vous arriver.
Bon on sait qu’entre trois ou cinq ans, trente pour cent à cinquante pour cent des entreprises ferment.
Parlons de celles qui fonctionnent encore, qui n’ont pas atteint ces années, ou qui réussissent à survivant.
Ce résumé et les exemples qui suivent s’appliquent tout autant à des entreprises de services ou de vente de divers produits ou de type entrepreneur en construction, ainsi qu’au travailleur autonome.
À moins que vous voguiez après ces quelques mois ou années sur une mer de profits (quelques-uns y arrivent) vous serez dans une des situations suivantes :
- Carnet de commandes plein – travaille plus de cinq jours semaine – difficulté à prendre des congés – bons revenus – peu ou pas de profit dans l’entreprise en fin d’année
- Idem à 1, mais en plus le revenu est faible, ressemble plus à un travailleur à l’heure avec un faible salaire
- Revenu pas mal – mais stagne – mon temps n’est pas illimité – revenu et profit variable selon client
- Travaille plus pour trouver client que pour créer revenu – tout le reste est très faible dû à ce fait
- Idem au point 1 – même très payant – des profits en fin d’année intéressante – mais je travaille six jours, parfois plus – pas le temps d’en profiter – je me demande parfois à quoi ça sert
Ces quelques situations peuvent avoir plusieurs variantes, mais elles se résument à ne pas obtenir suffisamment de rendement ou à devoir travailler d’innombrables heures et ne plus avoir le temps de vivre…
Mais comment en es-tu arrivé là ?
Toi qui rêvais de ne plus avoir de patron, de faire tes horaires adaptés à tes besoins…
Est-ce que tu dois abandonner et retourner travailler à l’heure ?
Bonne nouvelle, non, pas nécessairement. Ce n’est probablement pas entièrement de ta faute en plus.
Dans tout le processus endiablé de démarrage, dans ton enthousiasme, personne ne t’a dit que tu devrais de former un peu sur la communication et surtout sur la négociation. Mais comment est-ce possible ?
Ces notions sont souvent acquises au fil des années passées en affaires. Après dix ans ou plus, tu auras vécu suffisamment de situations pour avoir acquis ce dont tu as besoin en communication et en négociation reliée à ton domaine.
Malcom Gladwell, dans son livre « Les prodiges », mentionne qu’il faut environ 4000 heures de pratiques dans un domaine pour être « bon ».
Tu joues de la guitare pendant dix heures par semaine, dans huit ans tu seras « bon ».
Alors combien penses-tu que tu passes de temps à utiliser de bonnes techniques de communication et de négociation dans tes affaires ? Divise 4000 par ce nombre d’heures annuelles et tu sauras dans combien d’années tu seras « bon ».
En partant des hypothèses que tu connais ton produit ou service, que tu fais bien ton travail et que tes prix sont justifiés, pourquoi ne réussis-tu pas ?
Pourquoi ne peux-tu pas te donner un revenu intéressant, avoir un profit annuel acceptable et du temps pour en vivre ?
D’autres réussissent, qu’ont-ils de plus ? Pourrais-tu même penser les surpasser ?
Pourquoi pas ?
Fais-tu ce genre de chose :
- Envoyer ta soumission d’un gros contrat par courriel;
- Baisser ton prix ou ta commission;
- Contredire ton client dès qu’il dit une objection;
- Faire un bon prix, tellement que ce contrat ne sera pas profitable, juste pour mettre un « pied dans la boite »;
- Te démarquer juste avec ton « low cost »;
- Faire des promotions sur le prix.
Je pourrais étirer cette liste sur plusieurs pages, mais je crois que tu as compris où je veux en venir.
C’est ce genre de comportements, qui sont souvent devenus de mauvais réflexes, qui vous cause la grande majorité des problèmes dont nous avons parlé.
Il existe des méthodes, des techniques qui vont vous permettre d’être mieux équipé pour faire face à ces situations.
Imagine qu’en ayant autant de clients, sinon plus, tu retires dix, vingt pour cent ou plus de profits sur chacune de tes transactions. Non seulement enfin ton travail acharné sera récompensé, mais tu pourras aussi, si tu le désires, diminuer ton nombre d’heures pour avoir du temps pour mieux vivre.
Les techniques dont je te parle, je les ai apprises au cours de mes trente années en relation de travail. Grâce à des essais et erreurs, à des ajustements et des améliorations je réussis à obtenir le maximum dans mon domaine. Avec quelques adaptations, ces méthodes s’appliquent très bien dans le domaine des affaires.
L’entrepreneur, le travailleur autonome mérite aussi de pouvoir vivre de son travail et d’avoir le temps d’en profiter.
Si ça t’intéresse, viens voir ici, cinq concepts, les plus importants, pour t’aider à y arriver.
Au plaisir de participer un peu à ta réussite!
Mario Jean